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Je suis né à Besançon, dans le Doubs, avant de grandir dans un petit village aux alentours de Dole, dans le Jura, jusqu'à mes 18 ans.


Co-fondateur et aujourd'hui président de l'association doloise Dollywood, je réalise mes premières créations et fais mes premières rencontres avec des passionnés de l'audiovisuel au sein de ce collectif. C’est dans ce contexte que je réalise mon premier court-métrage en 2015, N’oublie Pas, un hommage à la Première Guerre Mondiale focalisé sur le devoir de mémoire.

Après l'obtention d'un bac littéraire, je m'installe à Paris pour réaliser des études de Cinéma à l'ESEC. Au cours de ma première année d'études, je développe mes compétences et ma cinéphilie en découvrant des cinéastes variés qui m'inspirent énormément aujourd'hui. L'aboutissement de ce cursus sera la réalisation de La Trappe en 2018, court-métrage de fin d’études au ton dramatique contant la vie d’une jeune prostituée prisonnière d’un environnement violent et avide de liberté.

Toujours à travers mes études et en parallèle du Cinéma, je tombe amoureux de la Photographie en m’intéressant aux travaux des plus grands photojournalistes, sous l'enseignement de mon professeur François Preschez.

Équipé d'un Canon EOS 6D, je prends rapidement goût à déambuler sur les places ou dans les rues de la capitale pour photographier les personnes qui les traversent, les habitent, les envahissent, les défendent, les admirent... J'ai étendu cette passion de la photographie de rue, ou plus généralement de reportage, jusque dans les quelques pays où j'ai voyagé : Cuba, Etats-Unis, Slovénie, Pays de Galles, République Tchèque, Italie, Allemagne... 

Gourmand de capter des personnes dans des situations spontanées et fasciné par le monde du Cinéma, j'ai découvert la photographie de plateau comme un terrain de jeu parfait où convergent mes deux passions. L'exposition Icônes (Galerie Joseph - été 2018), mettant en lumière les oeuvres de Raymond Cauchetier et Georges Pierre, fut une révélation pour moi quant à ce travail.

Captivé et intrigué par la complexité de la vie citadine, je reste également très attaché à la nature et plus particulièrement à ma région natale, la Franche-Comté.
 
Je crois fortement en l'émergence d'un "cinéma décentralisé", visant à mettre en avant l'atmosphère et les paysages de la campagne française comme décors et les jeunes artistes qui s'y cachent comme protagonistes. C’est dans cet état d’esprit que je réalise trois courts-métrages dans ma région natale entre 2019 et 2022 : Le Bonheur des Sangliers, Charognes et Renard, récits faisant cohabiter ou se confronter la sauvagerie des hommes à « l’humanité » des animaux sur fond d’humour noir.

J'aspire toujours à réaliser de nombreux projets, notamment en tant que photographe et réalisateur. Je reste en recherche constante de rencontres et de découvertes qui pourraient influencer et aiguiser mes croyances et réalisations futures.

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